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L'histoire de la liberté

 D’abord, quand l’humanité est apparue il y a des millions d’années, il n’y avait pas de liberté. En suite une poignée de personnes que les sociétés religieuses appellent des « prophètes », et que les orientaux appellent « avatars », ou simplement « des penseurs » comme préfèrent appeler d’autres, ont commencé à aborder cette notion. Ces prophètes et leurs compagnons au contraire de leurs récents partisans ont tout fait pour défendre les libertés individuelles,

 par exemple lorsque l’islam est arrivé au pays de Sham, les musulmans à l’époque ont préservé tous les droits des chrétiens et des autres minorités, comme la consommation de l’alcool, la liberté de culte etc.… et ce, car ils comprenaient parfaitement l’objet ainsi que la substance de l’islam, ils comprenaient aussi que l’État religieux au cas où il aurait lieu, il commence par anéantir ses partisans ,à titre d’exemple si jamais un État islamique a lieu sur un territoire quelconque il doit avant tout déterminer quelle doctrine va-t-il- adopter est ce celle chiite, sunnite, ibadite, ismaélien etc.…. Et du coup aucun consensus ne pourra avoir lieu là-dessus. C’est pour cette raison nous remarquons que l’apport de l’islam dans tous les domaines à cette époque était appréciable. Donc on conclut que seul la liberté, quel que soit son étendu, qui est en mesure de pousser les sociétés vers la voie de prospérité et de développement.

Le fruit de la liberté

Pour illustrer ceci, prenons l’exemple des juifs qui ont parfaitement compris ce courant et l’on adopté par la suite, en fait ils ont séparé tous ce qui est religieux de leur vie politique, scientifique, sociale etc.…. Et ce en vue d’élargir le cercle de liberté. Et voilà le résultat : à peu près cent vingt Prix Nobel sachant que la population juive ne dépasse pas une vingtaine de million comparé à tous les pays arabo-musulmans qui n’ont obtenu que quatre Prix Nobel même si leurs nombres dépasse le milliard.

Dans cette optique, il faut signaler que les constitutions sont venues donner plus de libertés et remplacer les textes religieux mal interprétés, car l’observateur d’un peuple arriéré, ignorant, non civilisé qui (le peuple) prétend suivre une religion déterminée ne peut que mettre en cause cette dernière et du coup chercher une alternative qui serait dans la majorité des cas une constitution. Ces religions objet de cette discussion, ne sont pas du tout erronées ni porteuse de mauvaise pensée, mais elles manquent de rénovation, car une religion qui reste stagnante en matière de ses visions et de son regard à ses environnements, et n’essaye pas de suivre le rythme de vie finira certainement par disparaitre tout comme ce qui est arrivé à l’islamisme radical ( Daech, Al-Qaïda et d’autres)

La liberté est synonyme de la capacité de choisir

Alors la liberté comme valeur appréciée par les humains peut être définie comme « la capacité de choisir ». Cette capacité est relativement attachée et encadré par la responsabilité, autrement dit, plus qu’on est responsable, plus qu’on a de la liberté et le vice versa, prenons l’exemple d’un esclave qui reçoit sa subsistance auprès de son maitre. En fait il n’a aucune responsabilité et du coup il n’a pas de liberté. Dans le même sens la liberté n’a pas toujours un rapport avec le statut social, car il se trouve qu’il y a des grands responsables voire des ministres esclaves et des simples fonctionnaires libres et ce, parce que les premiers des fois n’agissent pas correctement et selon leurs principes, néanmoins les deuxièmes essayent de faire les choses dont ils sont convaincus et de les faire dans les règles de l’art.

Être libre ne veut pas dire créer des soucis aux autres à cause de nos choix

La liberté requière un esprit de consultation tant qu’il s’agit d’une décision dont l’ampleur affecte d’autres personnes, à titre d’exemple, un mari ou une femme ne doivent pas prendre des décisions qui les concernent d’une façon unilatérale en disant « je suis libre ». Et bien sur ce qui s’applique sur le couple ou la famille peut également être appliqué sur les organisations ou même les États, en d’autre terme, plus que la décision est entre les mains d’une majorité, plus que la marge d’erreur d’affaibli. Malheureusement dans des milieux sociaux de quelques pays tiers-mondistes on trouve pas mal de gens qui sont du côté des dictatures en disant qu’ils ont besoin d’une forte personne pour prendre les choses en main, en vérité ils cherchent inconsciemment un tyran pour diriger l’État seul, et cela se passe souvent car ils ne méritent pas une démocratie.  Cela d’un côté, et d’un autre, la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres, ça veut dire que du moment où nos actes endommagent ou limitent la liberté des autres, ces actes donc ne restent plus acceptables et par conséquent doivent être arrêtés, pour illustrer ceci analysons un peu les manifestations ainsi que les marches visant « la liberté » dans les routes et endroits publics et commerciaux,  apparemment les gens qui les mènent sont très convaincus qu’ils ont droit de manifester leur colères de cette façon, cependant la plupart parmi eux ne se rendent pas compte des dégâts qu’ils peuvent causer ainsi que d’autres intérêts qu’ils peuvent endommager, donc une personne prudente et raisonnable ne peut en aucun cas faire appel à ce genre de pratique en lui donnant le titre de « liberté ».

Pour priver quelqu'un de sa liberté il faut le programmer.

De même, il n’y a pas mal de gens qui croient être libre dans leurs pensées, néanmoins, ils sont programmés sur quelques pratiques dont ils ne sont pas convaincus. Soulignons ici que le mot « programmés » n’est pas mis aléatoirement, en fait il est bien choisi, car généralement on peut priver n’importe qui de la liberté de parler, de se déplacer, de manger etc. mais jamais ne on peut le priver de la liberté de penser, sauf si on le programme. La plupart des gens ne savent pas qu’ils peuvent être différents de leurs parents, de leurs familles, de leurs peuples etc.…et du coup ils restent prisonniers de leur programmation. Ces gens malheureusement ont atteint un dégrée d’esclavage mental qui leur permet de défendre des choses qu’ils ne font pas, à titre d’exemple on trouve beaucoup de femmes musulmanes qui mettent en cause le fait de ne pas porter de voile même si elles ne le portent pas, car on leur a dit que seul ce fait (reconnaitre son péché) peut l’écarter de l’enfer le jour du jugement. Alors là on constate clairement que la programmation est le contraire de liberté de réflexion.

Dans ce contexte, l’une des choses les plus dangereuses est « la tutelle de réflexion », ceci dit que dans quelques sociétés tiers-mondistes on fait tout pour empêcher les individus de penser et de réfléchir sous prétexte que seul les représentants de « Dieu » quel que soit leur religion et sous différents intitulés (pasteurs, rabbin, imam…etc.) ou les élites politiques qui peuvent disposer de la vérité. Et par conséquent tout le reste est censé croiser ses bras et fermer son cerveau. Pour illustrer cette idée prenons le cas des religions dont l’origine est le ciel, et les autres doctrines issues du développement et de la diligence humaine comme la démocratie. En fait cette dernière quoiqu’elle apporte à l’humanité, reste écartée chez pas mal de représentant de religion et leurs partisans, car pour eux il s’agit d’une hérésie puisqu’elle n’émane pas du ciel selon leur niveau de compréhension.

La liberté scientifique

Aussi, il y a la liberté scientifique. A vrai dire, l’humanité tout au long de ces derniers siècles a souffert des mauvaises pratiques des religions, car ses dernières ont toujours essayé de limiter les libertés individuelles en prétendant que seul le ciel qui doit décider pour le sort de l’humanité. Le problème ici c’est qu’il y a beaucoup de religions, et dans la même religion il y a beaucoup de doctrines et du coup chaque partie a l’intention de stimuler le reste en croyant qu’on faisant ceci on cherche leur bien. Ainsi l’occident étant conscient de cette réalité ont mis en place des mécanismes permettant de séparer tous ce qu’est religion de la science en vue de lui donner plus de liberté toute en gardant le droit de culte aux individus. Le danger des religions ici c’est que chaque secte quoi qu’elle soit minorité, pourrait imposer sa pensée sur le reste de l’humanité et ceci n’est plus acceptable puisqu’à l’heure actuelle les gens n’acceptent même pas le pouvoir des majorités.

La science et les libertés

A l’instar des religions qui ont limité les libertés de réflexion, la méthodologie scientifique dans la plupart des laboratoires universitaires a tellement exagéré au point qu’elle a limité toute sorte de création et d’ailleurs c’est pour cette raison qu’on remarque que les grandes découvertes de notre ère comme les produits de Microsoft, Google, face book, WhatsApp et la liste est encore longue ne sont pas sorties des grands laboratoires scientifiques, mais plus tôt des gens qui se libèrent de toutes restrictions quelque soient leurs origines.

Ainsi le problème majeur des gens qui suivent aveuglement le courant de la méthodologie scientifique, c’est qu’ils n’acceptent de prendre le savoir que par la voie de la doctrine scientifique et deviennent malheureusement comme les partisans des religions qui ne voient que deux couleurs dans la vie. Ces gens toutefois changent leurs avis lorsque les universités reconnaissent ce qui était qualifiée « conneries », comme ce qui est arrivé avec le rejet de la méditation, de la PNL etc.… en fait la communauté scientifique n’acceptait pas ces pratiques jusqu’à ce que les universités les ont adoptées parmi les matières à enseigner en changeant les noms, comme la méditation qui est devenu « mindfulness ». Ces actes au nom de la science peuvent être décrit comme « le nouvel esclavage » car il ne différent absolument pas des pratiques extrémistes des partisans des religions.

La liberté de culte

S’ajoute à cela la liberté de culte, à vrais dire, personne ne peut accepter la tutelle religieuse quel que soit sa nature, mais malheureusement en trouve beaucoup de mauvaises interprétations qui tourne autour de l’interdiction de changement des religions, et personnellement je trouve cela bizarre, car les textes religieux sont plein de verset qui incitent les gens à choisir et ne les obligent pas de suivre une telle ou telle religion. Aussi beaucoup de ces partisans font leur mieux pour changer les autres. Par exemple on peut les trouver en train de faire la prière dans un endroit surpeuplé pour attirer l’attention des autres, car ils ne savent pas qu’on agissant ainsi on donne une mauvaise impression sur cette religion. De même il faut signaler que chaque individu détient le droit de recherche, cela veut dire que quel que soit la religion de ses parents et de la programmation qu’il avait reçu dans son enfance, il doit se mettre à poser les grandes questions du genre « sommes-nous les seuls à avoir raison ? y a-t- il d’autre belle notions dans les autres religions ? etc…. Comme ça il pourrait choisir le culte le plus proche à ses convictions et l’adopter librement comme religion sans causer des ennuis aux autres comme font beaucoup de partisans de religions actuellement. L’idée ici c’est que tout le monde peut exercer ses rituels mais loin des autres pour ne pas les déranger.

La liberté du temps

En plus de toutes ces libertés il y a également celle du temps. En fait il nous arrive souvent de trouver quelques un qui se plaignent du fait qu’ils ne disposent pas d’assez de temps pour faire une telle ou telle tâche, comme si ce temps est quelque chose qu’on voie ou qu’on touche, en réalité, le temps tel qu’il est conçu n’est qu’une illusion, car cette division faite par les habitants de notre planète il y a très longtemps n’est que le résultat de rotation de la terre d’un côté autour d’elle-même et d’un autre autour du soleil comme tout le monde sait. Cette division peut donc sans doute être différente pour des extra- terrestres qui vivent dans une autre planète. De cela il s’avère qu’il n’y a pas de manque de temps comme prétend la plupart des gens, mais il y a plus tôt un problème de sa gestion, car le temps existe que l’en veuille ou pas, et la façon de son exploitation qui crée la différence entre nous tous. Dans cette optique et pour une meilleur gestion de temps on peut opter pour la notion de « joie et sens » comme préfère appeler (le penseur arabe) Salah ARACHED , donc la joie comme son nom l’indique veut dire la distraction, le bonheur etc.… et le sens est synonyme de la mission ici, c’est dire la raison d’être pour nous. L’idée est donc c’est qu’un équilibre entre ces deux notions doit être établi en vue de créer un climat de paie intérieur et par conséquent de vivre le bonheur sur terre. Cette équilibre n’est pas forcément censé être issu d’une répartition à part égale, c’est dire 50% de sens et 50% de joie, il est issu plutôt de l’âge d’un individu, par exemple les personnes qui sont dans les vingtaines et les trentaines doivent réserver à peu près 80% au sens et 20 % à la joie, pour les personnes qui sont dans les quarantaines et cinquantaine peuvent accorder moins au sens et plus à la joie, à titre d’exemple 40 % au sens et 60% à la joie et ainsi de suite de façon à ce que les deux notions soient présente dans la vie d’une personne même pour un ou une centenaire. Quelque uns parmi vous peuvent dire comment est-ce possible pour un ou une centenaire d’exercer une activité ? Et la réponse ici c’est qu’une activité où il y a un sens ne concerne pas forcément un travail colossal où une tache d’une grandeur gigantesque, c’est plutôt une mission minime des fois mais qui peut donner du sens à l’existence de la personne concernée car l’univers ne peut en aucun cas accepter quelqu’un qui vive sans rien ajouter.

Dans cette optique, il existe également la notion de l’intelligence et de l’engagement, à vrai dire, pas mal de personne qui sont d’une intelligence hors-pair finissent par être derrière les barreaux, et en parallèle il y a énormément de gens qui sont d’une intelligence normale, mais avec un travail engagé ils peuvent réaliser l’irréalisable. L’idée ici c’est que peut importer notre niveau d’IQ ce qui compte c’est comment on exploite nos vingt-quatre heures « un jour on a demandé à Donald trump de révéler son secret de réussite et il a répondu que tous ce qui il faut faire c’est de travailler une moitié de journée, la présence a été étonné par sa réponse car pour elle c’est minime, en suite il a continué que n’importe quelle moitié peut faire l’affaire pour leur dire que la moitié de la journée ne veut pas dire le matin ou le soir comme ils ont compris, mais plutôt veut dire douze heures, et il a continué que même le fait de travailler ces douze heures n’est pas en mesure de mener les gens vers le sommet, parce que beaucoup deux font ça, alors en plus de cette moitié il faut travailler samedi et dimanche pour être le meilleur car tout le monde s’arrête le weekend ».

La liberté de gestion de temps selon Steven R Cavey

Dans ce contexte, Steven Richard cavey le lumineux auteur américain a conçu un model hors-pair sous forme d’un carreau qui décrit merveilleusement l’art de gérer son temps ce carreau se compose de quatre cases, il y a donc la première qui concerne tous ce qui est important et urgent, c’est dire tous ce qu’on doit faire à l’instant même sans pouvoir de le tarder (c’est dans cette case où agissent les urgentistes). Ensuite il y a la deuxième qui est réservée à ce qui est important mais pas urgent, est c’est ici où se trouvent les gens qui réalisent des réussites car ils travaillent à leur gré sans stresse ni pression et avec une vision claire. Puis, dans la troisième case on a ce qui n’est pas important mais urgent comme répondre à une communication téléphonique qu’on peut s’en passer ou toutes autres choses qui n’a pas d’importance mais qu’on s’investit dans. Finalement on trouve la quatrième case qui n’est malheureusement ni important ni urgent et malgré ça beaucoup de personnes peuvent se trouver là-dedans. Donc, de toute ces cases, seule l’utilisation de la deuxième qui pourrait avoir un apport à ses utilisateurs, et bien sûr par la deuxième en veut dire tous ce qui n’est pas urgent mais d’une importance, comme les études, la planification etc.…  L’idée ici c’est que nous pouvons tous des fois passer par toutes ces cases vu les circonstances de la vie, mais nous devons investir davantage nos efforts dans la deuxième, car généralement elle nous protège souvent de tomber dans la première et nous donne une conscience permettant de mesurer la gravité de s’oublier et de se perdre dans la troisième ou encore pire dans la quatrième.

la liberté psychologique

En plus de toutes ces libertés qu’on avait mentionnées, il y a aussi la liberté psychologique, en fait, la notion de cette liberté est presque le résultat de tout acte humain, à titre d’exemple au cas où on demanderait à quelqu’un qui désire acquérir une voiture « pourquoi voudriez-vous cette voiture ? » la réponse serais probablement « pour ne plus souffrir dans le transport commun », et si on ajoute une autre question est pourquoi n’aimeriez-vous  pas souffrir dans le transport commun, la réponse serait peut-être « pour me sentir à l’aise », et même si on obtient pas cette réponse à partir de la deuxième question et on continue à monter dans l’échelle on posant d’autres, on finira certainement pas trouver un sentiment qui était derrière tous, et donc c’est notre psychologie qui fait bouger nos actes dans la vie, d’où vient son degré d’importance. Ceci nous mène vers le fait que l’obtention de la liberté psychologique peut être difficile en quelque sorte puisque ça requière de surmonter certaines peurs, comme celle d’échec ou de refus qui peut des fois empêcher quelqu’un d’occuper une nouvelle fonction ou même d’avouer son amour à une personne sous prétexte que ça pourrait ne pas marcher. La liberté phycologique émane aussi du fait de vivre dans l’instant ou comme on dit « ici et maintenant », autrement dit, jamais, on peut trouver quelqu’un qui applique cette technique souffre quel que soit la nature de la souffrance, car comme dit « deepak chopra » il est impossible qu’une maladie naît dans l’instant présent, il voulait dire par ceci que tous les problèmes psychiques ou même organiques se créent dans le temps. Parmi la liberté psychologique il y a aussi la compatibilité entre nos actes et nos sentiments, malheureusement on trouve souvent des gens qui ne se comportent pas selon leur convictions, comme ceux qui prétendent défendre l’islam mais en réalité ils n’ont rien à voir avec cette religion, on les trouve par exemple en position de critiquer la musique même si ils l’écoutent, ou critiquer les femmes qui ne portent pas de voile et pourtant elles ne le porte pas, en fait pour eux en agissant ainsi ils croient être du côté de dieu, mais ils ne savent pas que ces types d’actes privent les gens de leurs libertés psychologiques puisque ils se comportent à l’encontre de ce qu’ils font, et ce malheureusement est un résultat de la programmation des hommes de la religion qui disent à leurs partisans « ce qui importe ce n’est pas ce que vous faites, mais plutôt ce que vous croyez ». de même il y a la responsabilité, à vrais dire, on ne peut en aucun cas parler de la liberté psychologique sans évoquer la notion de la responsabilité, cette dernière nous donne que l’on veuille ou pas un sentiment de bonheur caché, puisque elle nous permet d’avoir un rôle dans la vie. Et c’est pour cette raison qu’on trouve pas mal de gens retraités souffrent de la dépression car ils ont laissé carrément leurs responsabilités professionnels en croyant que croiser ses bras leur fera du bien. En fait l’univers intervient ici pour priver ses gens du bonheur, il s’agit bien évidement de l’équilibre qui est censé avoir lieu dans la vie d’une personne, car jamais on ne peut prendre sans donner et au cas où un individu tombe dans ce piège, il sera bientôt refusé par la nature. Alors La règle d’or ici c’est que les gens peuvent se reposer et donc se libérer de leurs responsabilités plus ou moins une heure par jour, un jour par semaine, un weekend par mois et finalement un mois par an, en agissant ainsi un équilibre peut trouver place dans notre vie. De même sur la route de la recherche de la liberté psychologique on peut rencontrer une technique appelée « surpasser ses problèmes » en effet, cette technique consiste à ne pas donner du temps ou de l’énergie aux soucis minimes, mais elle ne peut fonctionner que lorsque on dispose d’une vision claire et d’un objectif dans notre vie  car comme ça on se sent obligé d’accorder toute la concentration à ce qu’on attend de la vie et non aux petits problèmes qui peuvent entraver nos processus de développement.

La liberté corporelle

Ensuite, il y a la liberté corporelle qui peut englober tous ce qui concerne le corps humain et ses apports ou ses contributions à une personne elle-même, ce corps est d’une importance accrue dans la mesure où il assure la continuité de l’esprit. Dans ce sens l’individu est amené à se protéger des autres en essayant d’être à l’abri  de leurs actes, ceci dit il faut faire attention de l’influence des autres sur nos corps, et l’exemple le plus illustrant ici est la vieillesse, en fait un sage indien appelé « Shankar » dit que l’homme avance dans l’âge, devient vieux et meure car il voit les autres font ça, autrement dit, les réactions de nos corps face à la vieillesse est largement influencée par la conscience totale de l’humanité ,comme montre Deepak Chopra dans son ouvrage traduit au français « un corps sans âge un esprit immortel ». C’est pourquoi au cas où une quarantaine de personne sur cinquante s’évanouirait dans un lieu public, la dizaine restante sera surement influencée d’une manière ou d’une autre par cet acte.

Aussi, prendre soin de son corps requière une certaine discipline en matière de la quantité et de la qualité d’eau qu’on boit toute au long de la journée, cette quantité peut varier en fonction de la réaction du corps face à l’eau, cela signifie que chaque individu peut découvrir quelle est la quantité adéquate pour son corps, car généralement ça peut varier entre deux et trois litres par jour.

Prendre soin de son corps c’est trouver également un moyen qui permet de le nourrir de façon à lui donner tous les éléments qu’il peut requérir, que ce soit sous forme de repas riches aux éléments nécessaires, de herbes, ou sous forme de vitamines supplémentaires qu’on peut prendre directement.

En plus de la notion de santé, on a commencé à voir dernièrement un autre concept, il s’agit bien du « bien être ». Qu’est un sentiment général d’agrément et d’épanouissement que procure la pleine satisfaction des besoins du corps et de l’esprit, ce concept s’obtient par la pratique d’un ensemble de choses comme le sport, le massage, la méditation, la bonne nourriture etc.

De tous cela, et selon la constitution de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la santé est « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité » et représente « l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soit sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale ».

Ecrit par Abdelmalek CHAREF

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